5. J'aime ou je n'aime pas la surcharge cognitive?

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En renseignant le questionnaire çi-aprés vous pourrez définir si vous aimez ou vous n'aimez pas travailler avec un niveau important de surcharge cognitive (ou de stress)

Comment utiliser cet auto-diagnostic?

Pour chacune des 6 questions, notez sur un support  le nombre de point affecté à la réponse qui vous caractérise. Puis faites le total des points des 6 questions.

Rendez-vous à la fin du questionnaire pour l'interprétaion des résultats...

	TOUT A FAIT VRAI	PLUTOT VRAI	PLUTOT FAUX	TOUT A FAIT  FAUX
1. J’ai tendance à faire les choses au dernier moment et dans une certaine urgence	3	2	1	0
2. Je ne suis jamais aussi bon à exprimer mes idées que lorsque l’on m’apporte la contradiction	3	2	1	0
3. Je préfère les situations où il y a un enjeu important, voire un risque, à celles moins incertaines	3	2	1	0
4. J’ai besoin de « bouger » ( par exemple faire les cent pas si je suis seul,ou faire des gestes si je m’adresse à des interlocuteurs) pour mieux faire venir mes idées	3	2	1	0
5.J’ai recours à des substances « dopantes » (tabac, café etc…) pour être davantage concentré et productif lors d’une tâche difficile	3	2	1	0
6. C’est surtout en fin de journée ( plus tôt que le matin) que je suis au mieux de mes capacités intellectuelles	3	2	1	0

 

Résultats:

Si votre total est inférieur a 6: vous fonctionnez au mieux de votre efficacité avec un niveau plutôt bas de surcharge cognitive (de stress, de pression...) 

Si votre total est entre 6 et 12: pour être performant vous avez besoin à la fois de bases stable mais également  de nouveautés  et de surcharge cognitive (de stress, de pression...)

Si votre total est supérieur a 12: pour être efficace vous vous nourrissez d’un certain niveau de surcharge cognitive (de stress, de pression...)